Couverture roman le dernier temps

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Le dernier temps

La « grande histoire » est celle des Errants, peuple non-violent, capable de lire dans les pensées. Ils reviennent sur leur monde. Mais il a changé. Et ils sont de trop. Ils doivent mourir.

La « petite histoire » est la rencontre entre Joar, anthropologue envoyé pour les étudier, et Phéelle, jeune femme aux capacités si singulières.

Les Errants, peuple nomade issu de la diaspora terrienne, reviennent sur leur terre d’accueil, transformée entre-temps en base industrielle. Un anthropologue est envoyé pour sonder leurs intentions. Sa rencontre avec une jeune autochtone bouscule ses convictions. Il découvre une communauté différente de toutes celles qu’il a étudiées jusque-là. Non-violents, poètes, les Errants s’exercent depuis des générations à élargir leur champ de conscience et sont capables de lire dans les pensées. Mais leur monde a changé et les Errants sont de trop.

En réalité, je les ai à peine effleurés. L’essentiel m’échappe toujours. Je me suis même demandé si je n’étais pas le jouet d’une illusion, manipulé depuis le début. Pourquoi, à quelles fins ? Aucune idée… En dépit des propos de Phanaa, je n’ai senti aucune transformation significative de ma perception du réel depuis mon expérience. N’ayant pas d’autres mots, j’ai finalement choisi ce terme : « expérience ».

Interview de Jean K. Saintfort​
Jean, comment as-tu eu l’idée d’écrire une histoire pareille ?

J’ai écrit « Le Dernier Temps » après avoir vu le film « Gandhi » de Richard Attenborough. J’ai été très impressionné par une scène, historique, où hindous et musulmans se tiennent debout face aux policiers et ne répondent pas à leurs coups. Je me suis demandé si une attitude non-violente était encore possible dans notre monde.

Et c’est le cas ?

Les études montrent que si la non-violence ne marche pas à chaque fois, elle reste plus efficace que la violence.

Mmm. Il faut être sacrément courageux en tous cas. Parle-nous de cette étonnante couverture.

J’ai été contacté par un artiste peintre aérographe internationalement connu, et je te laisse aller voir sur son site ce qu’est un peintre aérographe, qui s’appelle JJ Vitiello. L’homme et la femme de la couverture sont extraits d’un de ses tableaux qui a gagné le Prix« Mona Lisa La Joconde ». Ce Prix international d’art a été remis en 2019 par l’Academia Italia in Arte nel mondo associazione culturale, dans le cadre de la diffusion de la connaissance, de la défense, et de l’affirmation de l’Art et des Droits de l’homme.
Séduit par mon roman « Les secrets de la maison de France », JJ Vitiello, qui est devenu un ami, a offert son œuvre comme couverture au roman. Cet artiste a d’ailleurs été invité à l’Exposition Universelle de Dubaï en 2022.

Découvrez l’artiste JJ Vitiello.
Cette sculpture d’un homme et d’une femme dos à dos qui fusionnent leurs pensées est impressionnante. Et si tu nous résumais l’histoire ?

Les Errants, peuple nomade issu de la diaspora terrienne, reviennent sur leur planète d’accueil, transformée entre-temps en base industrielle. Un anthropologue, Joar, est envoyé pour sonder leurs intentions. Mais sa rencontre avec une jeune autochtone, Phéelle, bouscule ses convictions. Il découvre une communauté différente de toutes celles qu’il a étudiées jusque-là. Non-violents, poètes, les Errants s’exercent depuis des générations à élargir leur champ de conscience et sont capables de lire dans les pensées. Mais leur monde a changé et les Errants sont de trop.

5 réponses

  1. Le parti-pris de considérer l’angle de vision d’une communauté pacifiste dans un roman de science-fiction me paraissait osé. C’était sans compter sur le savoir-faire de l’auteur, qui a réussi à m’entraîner dans son histoire sans difficulté ! La plume de l’auteur est très agréable et maîtrisée, ce qui ne gâche rien. J’ai apprécié de découvrir les personnages et de les suivre dans leur évolution. Je recommande 🙂

  2. Une magnifique ode à la différence. Entre réflexion anthropologique, action et histoire d’amour, « Le Dernier temps » brasse avec intelligence et délicatesse des thèmes universels et profondément sensibles. A découvrir absolument !

  3. J’ai savouré le roman « Le Dernier Temps » de Jean K Saintfort, après avoir découvert cet auteur dans « Les Secrets de la maison de France ». Je savais y retrouver un style élégant, riche et subtil, et une histoire bien construite. Ce conte profondément humain s’inscrit dans la veine du film « Avatar » : un peuple sage et pacifique peut-il survivre dans un monde matérialiste hostile ? « Le Dernier Temps » vous emmène en voyage dans l’univers de l’imaginaire, mais sans perdre de vue philosophie et valeurs humaines. Un beau roman que je recommande.

  4. Que dire de plus que toutes mes félicitations, jean est non seulement un grand écrivain, mais en plusil pr^te une trés grande attention à ses lecteurs. Il a toujours pris le temps de me répondre à tous mes messages privés.

  5. Le Dernier Temps livre une grande sensibilité, se jouant de la ligne du temps, des relations humaines qui restent humaines, de l’espérance dans la déshumanisation, de l’amitié, de la persévérance au delà des apparences, du bonheur dans les épreuves…ce roman est un cadeau éveillé et enchanté !

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